LES PRINCIPALES PROFESSIONS DU SPECTACLE VIVANT ET LEURS DEFINITIONS

NOTRE INTRO

Le spectacle vivant – Les Principales professions

Le spectacle vivant est une appellation technique venue du milieu culturel français qui désigne l’interprétation d’une ou de plusieurs œuvre (s) par un ou des artiste (s) devant un public. Cette ou ces œuvre (s) proviennent aussi bien de pièces de théâtre, des comédies musicales, des opéras ou même des opérettes, des concerts, récitals lyriques ou de variétés, des ballets, du cirque, des marionnettes, des spectacles forains, de l’humour, des chorales, des fanfares, des arts de la rue, etc….

    Le spectacle vivant dans tous les pays s’organise par le biais d’une loi prise par les politiques afin de la réguler, la rendre économique, sociale et encadrer tous les acteurs de la chaîne. Mais le présent guide ne sera pas un outil de développement d’une quelconque politique culturelle liée au domaine du spectacle vivant mais uniquement un outil qui facilitera la compréhension du vocabulaire utilisé dans le domaine par la définition des termes employés pour désigner les professions, les métiers aussi bien administratifs, techniques, financiers qu’artistiques.

MAJOR ASSE – ARTISTE-INTERPRETE

LES PRINCIPALES PROFESSIONS

     01 – Profession – Producteur de phonogrammes

Le producteur de phonogrammes est celui qui finance l’enregistrement d’un titre, il en est le propriétaire. C’est celui qui de fait, prend le risque financier de la première fixation, qui assure la réalisation, la fabrication du support, puis assure toutes les opérations liées au marketing, à la promotion et à la communication, en amont de la distribution. Il sera ici, important de noter :

     1 – 1 – qu’il n’est pas directement lié aux auteurs et compositeurs mais plutôt aux artistes interprètes, musiciens et généralement au réalisateur du support à qui ils proposent des contrats exclusifs ;

        1 – 2 – que le producteur phonographique a des partenariats économiques avec d’autres professions dans le domaine du spectacle vivant que sont : le gestionnaire de carrière d’artistes ‘’contrat de management’’, l’éditeur musical ‘’cession de droit d’édition’’, l’entrepreneur de tournées ‘’contrat de tournées’’ et le distributeur ‘’contrats commerciaux’’ y compris d’autres acteurs des domaines étrangers au spectacle vivant, ceci, dans le cadre de ses activités professionnelles et économiques avec lesquels des partenariats seraient possibles.

         1 – 3 – que le producteur phonographique peut aussi signer des contrats de Co production si les coûts relatifs à la production d’un produit sont élevés ainsi que des contrats de licence à des producteurs étrangers ou mêmes régionaux. Mais mieux, le producteur de phonogrammes peut également passer des contrats de co édition musicaux à l’étranger sous certaines conditions ;

         1 – 4 – que d’autres types de producteurs existent

       Ceux-ci sont des producteurs excellant dans d’autres domaines tels les finances, la télévision ou la radio et même aujourd’hui Internet et certains médias écrits. Ces producteurs travaillent en concordance et même, sont des partenaires inamovibles des producteurs phonographiques car, complémentaires les uns des autres. Car, la production phonographique va toucher aux médias de toutes sortes ‘’Internet, TV, Radio et presse’’, ils sont donc de facto un partenaire primordial, idéal et incontournable avec lequel il sera important de mettre de son côté d’où, l’importance d’un attaché de presse prompte, rompu et maîtrisant les rouages des médias dans le domaine de la production phonographique et même des autres professions dans la chaine du spectacle vivant.

02 – Profession – Producteur de Spectacles

Le producteur de spectacles est au sens premier de la profession, celui qui conçoit un spectacle et qui prend le risque financier en vue de son exploitation. Il a la même fonction que le producteur de disque, mais ici, dans le domaine du spectacle vivant et il peut non seulement organiser une représentation publique ou privée du spectacle qu’il a produit mais aussi la vendre aux organisateurs pour une ou plusieurs représentations publiques afin d’apporter son aide financière dans le but de faire des bénéfices sur les spectacles en le vendant à des salles, à des tourneurs, à des organismes de diffusion, etc. Le producteur de spectacles en fait, n’est pas tenu ou obligé d’organiser un spectacle et lorsqu’il l’organise, il doit respecter les mêmes obligations administratives, fiscales et sociales dévolues à un organisateur de spectacles et enfin, il peut délivrer des licences aux Tourneurs.

    Le producteur de spectacles a donc, ‘’presque’’ la même fonction que le producteur de phonogrammes, mais le premier excellant plutôt dans le domaine de la création et de la production d’un spectacle vivant. Le producteur de spectacles n’organise pas toujours la représentation des spectacles, mais apporte une contribution financière ceci, dans le but évidemment de faire des bénéfices sur les spectacles en les vendant à des salles, des tourneurs, des organismes de diffusion, etc.

     De fait, le producteur de spectacles prend l’initiative de la production d’un spectacle et engage les artistes ainsi que les différents techniciens pour le mettre en œuvre. Il a donc non seulement pour cela, la responsabilité du spectacle mais aussi celle d’employeur du plateau artistique. A l’égard du plateau artistique. Le spectacle ainsi créé, est :

  • présenté directement au public, le producteur prenant en charge l’organisation de cette diffusion,
  • soit, vendu à un organisateur de spectacles sous couvert d’un contrat définissant les responsabilités et les engagements des deux parties.

       Le producteur de spectacles peut également exercer son activité sous différents statuts juridiques : association, SARL, S.A, ou encore entreprise individuelle.

3 – Profession – Tourneur ‘’entrepreneur’’

Le Tourneur ou l’entrepreneur de tournées organise les tournées des spectacles pour des diffusions publiques ou privées. Les spectacles éventuellement organisés par des organisateurs ou entrepreneurs de spectacles, les diffuseurs et les lieux de diffusion. Il est le responsable du plateau artistique qu’il salarie et qui général, comprend : les techniciens artistiques, les artistes ainsi que certains administratifs employés par l’entreprise. Il est important de mentionner ici que l’appellation d’entrepreneur de tournées ou de tourneur est très récente de fait, c’est une profession nouvellement instaurée dans la chaîne du spectacle vivant. Le tourneur ou encore l’entrepreneur de tournées a presque les mêmes prérogatives qu’un producteur de spectacles qui sont :  

  1. employeur du personnel non artistique et,
  2. employeur du plateau artistique (artistes interprètes et techniciens artistiques).

     La seule différence qui existe entre un entrepreneur des tournées et un producteur de spectacles réside essentiellement sur le fait que le tourneur n’est pas tenu d’être le producteur du spectacle qu’il vend ou encore d’en être le créateur. Son rôle principal étant d’organiser la  ou les tournée (s) et de vendre le spectacle pour lequel il a acquis les droits souvent ‘’exclusifs’’ auprès du producteur de ce spectacle ou même auprès d’un artiste interprète, d’un producteur phonographique pour le vendre à des acheteurs éventuels (les salles, les organisateurs, les diffuseurs).

    Enfin, un tourneur ou entrepreneur de tournées peut être lié par contrat à des salles de spectacles et à des agents artistiques.

4 – Profession – Entrepreneur ‘’Organisateur’’ de Spectacles

Entrepreneur de spectacles est un professionnel ‘’personne physique ou morale’’ du domaine qui devrait avoir les dispositions intellectuelles mais surtout administratives, financières et techniques permettant la maîtrise règlementant la législation juridique dans le domaine qui est le sien. C’est-à-dire qu’il devrait pouvoir maîtriser les outils liés à l’organisation d’un spectacle tel que défini par les textes de loi allant de la recherche des financements en passant par la mise en place des différents les contrats, de l’administration sociale, de la production de spectacles ainsi que des dispositions liées à la gestion technique et à la communication de son domaine d’activités professionnelles.

      Pour cela, l’entrepreneur ou l’organisateur de spectacles doit prendre en compte le cadre légal et l’environnement professionnel, les contrats du spectacle et l’emploi du personnel y compris toutes les démarches pour l’accès à des autorisations administratives, aux  droits d’auteur, à la captation audiovisuelle, à la gestion comptable et à l’organisation générale liée à un spectacle, à l’organisation technique et à la préparation des régies. Enfin, il doit mettre en place la stratégie de communication et d’accueil non seulement des professionnels mais aussi du public.

     Un organisateur ou organisateur de spectacles est donc celui qui met en œuvre de façon évidente, directe et concrète tous les éléments liés à un spectacle : des fois les artistes interprètes, mais surtout, le matériel de scène, le son, les lumières, la billetterie, le bar, les services d’ordre, la sécurité incendie, etc… 

      Il est à noter que :

     01 – l’organisateur occasionnel peut s’il le veut, et c’est dans le domaine du possible, faire appel à des artistes interprètes professionnels qu’il pourra légalement engager ou même en passant par l’intermédiaire d’un producteur de spectacles, d’un tourneur ou d’un agent artistique.

   L’activité d’entrepreneur ou d’organisateur de spectacles dans nombre de pays francophones du monde est compatible avec les professions suivantes :

        Le gestionnaire ou l’exploitant d’une salle

    Celui-ci, est gestionnaire d’une salle ou d’une aire aménagée pour les représentations publiques des spectacles. Il gère de fait, un lieu dûment équipé qu’il peut de même louer à d’autres organisateurs de tous ordres. Il est obligé gère le personnel, la sécurité, l’administration du lieu pour cela, il doit détenir les titres d’occupation du lieu (propriété, bail, contrat de gérance ou tout autre document justifiant son autorité sur le lieu) et il a la responsabilité de faire appliquer la réglementation relative aux lieux de diffusion.

5 – Profession – Diffuseur

Celui-ci élabore et a la possibilité de mettre en place une programmation de spectacles professionnels dans le cadre d’une action artistique cohérente, fiable et viable visant essentiellement à fidéliser un public. Un diffuseur exerce surtout ses activités auprès des producteurs et généralement des lieux de diffusion. Il aura pour rôles principaux :

  • D’assurer la promotion de la programmation faite en amont ;
  • De mettre à disposition d’un public ‘’large’’, une information précise sur les activités artistiques mises en place sur une période donnée ;
  • De mettre en œuvre lors des représentations publiques des spectacles, des dispositions pratiques afin que le public apprécie d’abord la qualité artistique et qu’enfin, il le fidélise.

    Le diffuseur peut utiliser un lieu de diffusion de façon permanente, surtout, suivant certaines conditions mais aussi, avoir recours à des lieux temporaires. Il achéte également les spectacles auprès d’un producteur de spectacles ou d’un tourneur sous couvert d’un contrat dit de ‘’vente’’.

    Un diffuseur professionnel peut exercer ses activités sous plusieurs couverts : ‘’association, société commerciale, collectivité publique ou simplement en entreprise individuelle’’.

6 – Profession –  Editeur

Un éditeur notamment musical a pour rôle principal la promotion par tous les moyens, des œuvres de son catalogue. Travaillant principalement en amont avec les auteurs et compositeurs, il est chargé du placement des œuvres auprès des artistes interprètes et des producteurs phonographiques ou même cinématographique.

   Un éditeur doit mener ses activités sous un label commercial et ses principaux revenus proviennent du placement des œuvres sous forme de droits d’auteurs et sont considérés fiscalement comme des revenus commerciaux donc déclarables aux impôts ainsi que des revenus provenant des spectacles organisés par le tourneur auprès de qui, un contrat commercial dans ce cadre spécifique.

     Un éditeur peut également :

  • Financer les maquettes des artistes interprètes en vue d’en faire une meilleure promotion ;
  • Soutenir financièrement certains tourneurs surtout pour l’organisation des spectacles ;
  • Assurer la gestion des droits de auteurs et compositeurs de son catalogue ;

     La fonction d’Editeur n’est pas compatible avec celle de tourneur ou même d’agent artistique ou même celle, d’organisateur de spectacles. 

   Depuis, la profession s’est beaucoup développée grâce simplement au développement de la vie. Il existe aujourd’hui plusieurs formes d’édition que nous retrouvons désormais dans les domaines suivants :

  • Littéraire ;
  • Musical ;
  • Phonographique ;
  • Internet.

     L’Editeur musical

    L’éditeur musical est là pour générer le plus de revenus possibles à partir d’une œuvre qui lui a été cédé par un ou des auteur (s) compositeur(s). Il est l’unique structure commerciale qui peut toucher des revenus financiers sur les droits d’auteur.

   L’éditeur musical a deux sources de revenu : les droits d’auteur et les droits de synchronisation (possibilité de mettre l’œuvre sur un support audiovisuel). Il développe l’œuvre de votre artiste (auteur compositeur) contre un taux sur les droits d’auteur de l’auteur compositeur membre de la société de gestion collective du droit d’auteur.

     L’Editeur phonographique

    L’éditeur phonographique est celui qui prend l’enregistrement (le master) qui lui est remis par le producteur phonographe par le biais d’un contrat de licence, il en fait un disque et le commercialise (pressage, promotion…).  Le contrat entre l’éditeur phonographique et le producteur se nomme « contrat de licence ». Comme il fabrique matériellement le disque, l’éditeur phonographique devrait payer des droits à la société de gestion collective du droit d’auteur. Le producteur restant le propriétaire de l’enregistrement, l’éditeur phonographique n’ayant aucun droit sur le CD qu’il a pressé.

Cependant, le producteur peut lui céder l’exploitation pour une durée et sur un territoire donné. Il fait la vente et donne un pourcentage au producteur. Il reçoit enfin un pourcentage qui pourrait être de l’ordre de 16 à 18% de la vente du phonogramme. Imaginons que votre contrat terminé, vous souhaitiez inclure à une compilation que vous sortez quelques anciens titres produits par cet éditeur phonographique à qui vous n’êtes plus lié. Il vous faudra négocier pour racheter le master ou ré enregistrer les titres. L’éditeur phonographique travaille généralement sur l’œuvre matérialisée.

   L’Éditeur numérique

L’Éditeur installé nouvellement sur le marché professionnel avec l’arrivée d’Internet, l’éditeur numérique a un rôle qui est identique à celui du bon vieux distributeur à l’ancienne dont on retrouvait les produits chez les disquaires. L’éditeur numérique assure aujourd’hui le référencement d’un album ou d’un titre à l’unité à partir d’un support numérique. Son travail se fait uniquement sur les plateformes de téléchargement et de streaming sur Internet.

7 – Profession – Gestionnaire de carrière d’artistes

Le gestionnaire de carrière d’artistes est communément appelé agent ou manager. Attention, au regard de la loi camerounaise, un imprésario ou un manager, pour avoir une existence légale, doit prendre la dénomination d’agent artistique. Il est à noter que la profession de gestionnaire de carrière d’artistes est nouvelle au Cameroun.

    Un gestionnaire de carrières d’artiste doit maîtriser les différents contrats relatifs à sa profession avec notamment :

  • son artiste ;
  • le producteur de spectacles ;
  • le producteur phonographique ;
  • maîtriser les différents contrats du disque, les nouvelles technologies, l’édition musicale, la gestion des relations humaines ;
  • l’art et surtout, maîtriser les outils de la négociation.

     Pour cela, le gestionnaire de carrières d’artistes doit prendre en compte :

  • la rédaction des différents contrats ;
  • les différents rôles notamment du producteur de spectacles, de l’entrepreneur des tournées, de l’organisateur des spectacles ;
  • la définition des droits d’auteur ;
  • et surtout, du rôle de l’éditeur dans la carrière de l’artiste.

    Dans ce domaine, la différence réside sur le fait qu’un Agent artistique au regard de la loi camerounaise, a une existence légale mais pas le Manager. Pour autant, l’on peut exercer cette profession sous une appellation mentionnée dans la même loi. Mais surtout, vous constaterez et remarquerez que vous aurez deux professions avec deux types de fonctions :

      7 – 1  – L’Agent artistique

   Un agent artistique peut être : «… toute personne physique ou morale qui, notamment sous l’appellation d’impresario ou de manager, fournit des engagements à un artiste ou à un groupe d’artistes de spectacle … ». Cette personne peut être physique ou morale, Elle a pour rôle principal, des placements rémunérer et en principe, elle doit être titulaire d’une autorisation administrative délivrée par une autorité publique et appelée : autorisation, agrément ou licence. Un agent artistique a la fonction la plus floue dans le domaine du spectacle. Une agence artistique comme mentionnée plus haut, fait plus généralement que du placement et des engagements des artistes avec lesquels il est lié par des mandats ou des contrats auprès des producteurs, des diffuseurs ou des tourneurs.

     Il serait important de préciser ici que :

  • l’activité de placement ne concerne que les contrats d’engagement sur un spectacle
  • l’activité d’agent artistique est incompatible avec toutes les autres activités du domaine ;
  • l’activité d’agent artistique est d’abord commerciale, le promoteur doit pour se cela se faire immatriculer auprès du registre du commerce soit comme personne indépendante, soit comme société et ce qui exclu de facto les associations ;
  • il est également important d’avoir une connaissance factuelle et juridique du métier, apporter la preuve que l’on n’est pas incompatible à la profession d’agent artistique et expliquer les besoins de placement pouvant exister et,
  • il est rétribué par une commission calculée sur la base du cachet de l’artiste, ce calcul se fait sur le cachet brut mais, il peut négocier d’autres types de revenus provenant des rentrées financières de son artiste,
  • l’agent artistique n’est en aucune manière l’employeur de l’artiste ce qui le distingue par exemple d’un tourneur ou d’un producteur de spectacles.

     Le terme de Manager d’artistes qui est plus utilisé en France et dans beaucoup de pays francophones n’a aucun rapport avec les professionnels désigné sous cette appellation dans les pays anglo-saxons.

7 – 2 – Le Manager artistique

   Le Manager est une expression «anglo-saxonne» qui désigne une personne remplissant une fonction principale vis-à-vis de l’artiste particulièrement dans les pays anglo-saxon. C’est lui qui gère la carrière de son artiste et lui trouve des contrats. Cette fonction qui n’existe par exemple pas officiellement dans les pays francophones du moins juridiquement, n’est donc pas logiquement reconnue légalement dans certains de ces pays par exemple en France ou au Cameroun car normalement, elle est gérée par exemple en France par différents intervenants que sont les agents d’artistes ou les maisons de disques en même temps de fait donc, les maisons de disques lorsqu’elles signent votre artiste, ne prendrons pas en compte votre rôle de manager.

    Mais sa pratique dans les faits est tolérée du moins, l’appellation.

8 – Profession – Distributeur

Le distributeur met le disque dans les bacs. Il assure la distribution des phonogrammes et de tous les autres produits proposés par le producteur ou l’éditeur de phonogrammes. Il a un rôle commercial vis-à-vis des magasins (borne d’écoute, tête de gondole…). Le distributeur prend un produit déterminé et s’engage à le mettre dans les bacs suivant le contrat de distribution signé au préalable avec le producteur ou l’éditeur de phonogrammes. Il prend une marge sur les ventes du produit qui oscille souvent entre 30 et 40, voire 50%. La fourchette de cette marge est fixée dans chaque pays par des textes officiels. Généralement, le taux à l’intérieur de la fourchette est négociable entre les deux parties. Il est à noter qu’il existe plusieurs types de distributeurs :

  • les généralistes,
  • les majors,
  • les indépendants ou les disquaires.
SPECTACLE DE DANSE

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